Flash Info N°2018 : le décodage

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Un flash  info a été distribué ce jour (voir ci-dessous), mais certains abonnés nous ont signalé ne pas comprendre la raison de cette communication.
Pour remonter à l’origine de cette affaire, du moins en ce qui concerne l’article du Parisien, vous pouvez donc consulter ce lien

Le CCAS a donc bien joué son rôle, en parallèle des autres actions de solidarité.

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A noter que ce flash a également permis à la municipalité d’informer officiellement les Aulnaysiens des dates de la montée en débit annoncées notamment en conseil municipal le 13 février dernier 

2 comments

  1. Rappel de la loi concernant le CCAS (sans rapport avec le message ci-dessus)
    Les membres de son CA (conseillers, personnes ressources du secteur social) ainsi que le personnel communal en charge des dossiers sont tous tenus par la loi au secret professionnel (art.L.133-5 du code de l’action sociale et des familles) La révélation d’une information à caractère secret peut être punie de peine d’emprisonnement et d’amende (art.226-13 code pénal) Ces dispositions de confidentialité visent à établir la confiance entre les demandeurs d’aide sociale et les membres du CCAS. Si un CCAS a connaissance d’une situation relevant de ses compétences, il agit en conséquence et n’a pas à communiquer sur le suivi social.
    JoG

  2. Réponse de M. le maire :
     » Je précise qu’aucune information à caractère secret n’a été publiée par le flash info en question. Aucun secret n’ a été dévoilé. Ce flash info livre une information factuelle visant à rappeler la confidentialité de son action. Je cite: « il agit, par respect pour les personnes aidées, dans la discrétion et la confidentialité ». Les propos tenus sur le blog sont infondés, diffamatoires et attentatoires.  »

    Commentaire :
    Un CCAS de par ses missions et son obligation de secret professionnel, n’a pas vocation à interpeller l’opinion publique sur la situation d’un administré quelle que soit la difficulté/ gravité de la situation.
    M. Charbit aura donc beaucoup de mal à faire valoir son point de vue (propos infondés, diffamatoires et attentatoires) auprès de la justice.

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