Renvois et notes complémentaires
(1) Ces alertes doivent néanmoins être pondérées :
- C’est surtout la viande transformée (par salaison, maturation, fermentation, fumaison ou d’autres processus mis en œuvre pour rehausser sa saveur ou améliorer sa conservation) qui est mise en cause
- Tous les cas signalés ne sont pas avérés : par exemple, l’institut national du cancer précise : « En revanche, il n’est aujourd’hui pas possible d’établir de liens entre la consommation de viandes rouges et de charcuteries et le risque de développer un cancer de l’œsophage, de la prostate, du rein, de l’endomètre, ou encore de l’ovaire, du poumon (charcuteries), de la vessie (charcuteries) et du sein (charcuteries). Pour l’ensemble de ces cancers, le niveau de preuve est « non concluant ».
(2) Quelques équivalences protidiques :
- 20 g de protéines = 100 g de viande
- 100 g de viande = 120 g de poissons = 100g de volaille = 2 œufs = 80 g de jambon maigre (2 tranches du commerce)
- 30 g de fromage = 1/8e de camembert allégé = 60 g de petit-suisse = 125 g de yaourt = 100 g de fromage blanc = 150 ml de lait
Pour en savoir plus :
- Lire le compte-rendu de la journée d’information et d’échange co-organisée par l’INRA et l’association de consommateurs CLCV sur le thème : « Consommer de la viande : des enjeux et des impacts multiples » .
- Regarder le documentaire « cowspiracy » disponible sur Internet en version sous-titrée en français.
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