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DERRIERE L'AFFICHE

Posté : 18 juin 2020 12:51
par L'info
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Le tract du 16 juin 2020 de la liste « Vivre ensemble à Aulnay » constitue à nouveau une reconnaissance du travail de l’équipe qui a accompagné l’intéri-maire de décembre 2016 (et depuis 2014 pour certains) à juillet 2019.

En effet, on ne peut y voir l’œuvre de son actuelle équipe, quelles que soient les qualités de ses membres, étant donné la période pendant laquelle ils ont siégé… Ou alors il faut croire, comme il le prétend, qu’il a tout fait tout seul.

La santé financière de la commune est plutôt bonne, c’est vrai, même si l’exercice 2019 a été déficitaire. Mais c’est surtout GPS&O, l’ennemi N°1 de l’intéri-maire, qu’il faut remercier : dotation avantageuse (qui risque bien d’être révisée) et annulation d’une dette de 300 000 € contractée par la commune pour les enfouissements (non encore actée sur le site gouvernemental).

Mais le principal problème est la personnalité de l’intéri-maire. Nous avons dialogué avec de nombreux partenaires de la commune, notamment des élus à tous niveaux (GPS&O, maires, conseillers municipaux et départementaux, autres...) et des membres de l’administration : partout, son nom suscite des expressions corporelles significatives, quand le devoir de réserve ne permet que des commentaires privés : Aulnay est déconsidéré partout, ce qui augurerait mal des coopérations à venir s’il était reconduit.

Et sur place, sans parler du « turn-over » de son équipe municipale, peut-être cette liste de prénoms donne-t-elle penser qu’il ne fait pas si bon « vivre ensemble à Aulnay » :

Rémy, Jocelyne, Soraya, Ingrid, Tatiana, Christine, Nadine, Béa, Alix, Maria, Yannick…

sont ainsi partis vers des cieux plus cléments depuis décembre 2016 (pas mal, pour un effectif de 17...)

Enfin, parlons des « nouveautés » du programme apparues pour ce second tour : chacune semble avoir été calquée sur les initiatives lancées par « Quoi de Neuf ? ».

Et pour cela, l’intéri-maire n’hésite pas à employer les grands moyens, en isolant des personnes fragiles de leur entourage et en les mettant sous son emprise au prétexte de les aider ; bien sûr, ces actions « d’aide » sont menées sans consultation du CCAS et ont même conduit à la démission d’une de ses membres, outrée par ce comportement.